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Les meilleures applications de rencontres juives en 2023

Les applications de rencontre, à l'image de Meetic Tunisie ou 1tense, ont la cote auprès des Tunisiens. Cette tendance, visible également au niveau mondial, s’explique en partie par la démocratisation des systèmes de géolocalisation sur smartphones, apparue avec l’iPhone 3G en 2008. De plus en plus d’applications spécialisées de rencontres intra-communautaires ont fleuri depuis et il devient difficile de s’y retrouver. Revenons ici sur les meilleures applications de rencontres juives.

L’émigration des juifs tunisiens vers Israël (1948-1967)

En 1948-1949, l’aliyah (émigration des juifs vers Israël) à partir de la Tunisie est organisée par le Mossad le-‘Aliyah Bet, qui n’avait pas obtenu de statut légal en Tunisie, mais les autorités coloniales françaises ont toujours fermé les yeux sur ses activités tant que ses agents faisaient montre de discrétion. Ainsi, près de 6 200 émigrants juifs tunisiens ont pu rejoindre Israël via Alger et Marseille durant ces deux années.

Le Ministre des Affaires étrangères d'Israel, Eli Cohen veut rassurer la Diaspora.

Au cours des premières semaines de mon mandat, j’ai reçu des messages de nos frères et sœurs du monde entier exprimant leurs inquiétudes sur des questions fondamentales qui touchent non seulement l’État d’Israël mais aussi le peuple juif, concernant la loi du retour, la loi de la conversion ainsi que le compromis autour du Mur occidental

Flavius Josèphe, par Mireille Hadas Lebel

C’est à Jérusalem que naît, en l’an 37 de l’ère vulgaire et sous le règne de l’empereur romain Caligula, Yosef ben Mattitiaou, fils de Matthias, membre d’une grande famille sacerdotale. Il aurait dû devenir prêtre mais, comme on le sait, il deviendra, au fil des ans, un courtisan romain, général en Galilée puis historien protégé par Vespasien, produira une œuvre monumentale et, devenu Titus Flavius Josephus, mourra à Rome en l’an 100.

Georges Bensoussan, au micro de Gérard Unger, pour son livre « Les Origines du conflit israélo-arabe (1870-1950) »

Si c'est au sortir de la Première Guerre mondiale que se cristallise ce qui n'est pas seulement le choc de deux nationalismes, mais un affrontement culturel recouvert par un conflit « religieux » et d'innombrables polémiques sur la nature du projet sioniste, c'est bien avant 1914 qu'il a pris forme dans le discours à la fois des élites arabes, de la vieille communauté juive séfarade et des sionistes d'Europe orientale.