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La pensée juive et la Bible par Marie Vidal

Après une introduction de Shmuel Trigano sur le sens même de la pensée juive, interviennent successivement Oury Cherky, autour de la liberté fondamentale, Mikhaël Benadmon, autour de la « dissimulation de la Bible dans l’horizon talmudique et halakhique, Elyakim Simsovic sur l’interdiction de dévoiler certains aspects de la Torah

«Je n'arrive plus à me sentir juive et arabe depuis le 7-Octobre»

Français et juifs, ils avaient entrepris d'embrasser leurs racines tunisiennes, réconciliant leur judéité avec une forme d'arabité. Mais les tensions nées des massacres du 7 octobre 2023 et de la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza depuis ont encore plus fragilisé cette identité.

Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu

Dans la culture populaire juive, un dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d’un vivant, selon une croyance qui s’est développée en Europe orientale à partir du XVIIIe siècle. Le dibbouk fait partie des créatures surnaturelles qui ont dépassé le domaine de la superstition, pour devenir un thème inspirant les artistes d'hier et d'aujourd'hui.

La guerre d'Israël contre le Hezbollah en question

Voilà maintenant un an qu'Israël réagit à l'atrocité du 7 octobre. Non seulement le gouvernement n'était pas prêt ce jour-là mais en plus, il n'avait pas de plans d'attaque du Hamas, il disposait de renseignements relativement maigres sur les actifs ou les dirigeants de l'organisation, et faisait face à un puissant lobby au niveau national et international qui insistait pour que le retour des otages soit la première priorité.

Souccot, l’une des trois fêtes de pèlerinage prescrites par la Torah.

Les trois fêtes de pèlerinage , en hébreu Shalosh Regalim (שלוש רגלים), sont trois fêtes majeures du judaïsme — Pessa'h ( Pâque ), Chavouot ( semaines ou Pentecôte ) et Souccot ( tabernacles , tentes ou cabanes ) — quand tous les anciens Israélites qui pouvaient ferait un pèlerinage au Temple de Jérusalem , comme l'ordonnait la Torah.

Le mystérieux minhag des Kapparot soulève beaucoup d'interrogations.

Cette coutume consiste à prendre, la veille de Yom Kippour, un poulet vivant (un mâle pour les hommes, une femelle pour les femmes) et à le faire tourner au dessus de la tête en disant un formule qui charge la bête de nos péchés, en souhaitant que sa mort se substitue à la notre au cas où on la mériterait.